CYBERILLAC à Arcachon

rlet.png ares furent, en ce printemps 2016 les jours de soleil. Toujours la grisaille, toujours la pluie, toujours le vent, toujours la fraîcheur, tous les jours sauf... Sauf le 23 juin date choisie par CYBERTOM pour une balade sur les eaux apaisées du Bassin d'Arcachon. La veille il y avait eu canicule, 35 ° qu'on eût difficillement supportés, même sur l'eau. Mais le 23 une brume légère, se dissipant peu à peu fit découvrir la dune du Pyla dans toute sa splendeur matinale, une mise en scène atmosphérique digne des plus beaux levers de rideau.

ACTE I-SCENE I : L'EMBARQUEMENT

Matéo, excellent marin, grand connaisseur du Bassin, pilote et capitaine du Shéhérazade fut d'une prévenance exemplaire pour embarquer ses 27 passagers. CYBERTOM, s'était renseigné : il eût risqué sa place et sa réputation à laisser tomber un seul d'entre eux entre le pont de son bateau et le quai. Sur ce transfert il a fait preuve d'une extrême concentration.

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Muni de ses lunettes, de sa casquette ( in-dis-pen-sable ! ), de sa casaque de mer au cas où le vent fraîchirait, de son fidèle APN, de son précieux dossier contenant la liste des 27 participants, approchant l'embarquement d'un pas décidé, le psychologue du groupe avait pris quelques minutes de retard. C'était pour en gagner d'autres sur le temps de stationnement de son véhicule de façon à ne dépenser que 6 euros pour avoir le droit de rester jusqu'à 14 h 47 sans prendre de prune. Pour assurer le coup il lui en eût coûté 12, ce qui est quand même un peu cher. Mais nous étions tous à Arcachon pour une croisière de luxe et un déjeuner dans un établissement prestigieux. Alors au diable l'avarice dirent ceux qui n'avaient pas fait ce calcul et mis 12 euros dans la machine ! Finalement il y eut dépassement de 33 minutes sans qu'aucune caméra de surveillance ne le remarquât. C'était toujours ça de pris sur la promptitude des pouvoirs publics arcachonnais à manger la laine sur le dos des touristes.

ACTE I-SCENE II : LE SHEHERAZADE

De son nom, le Shéhérazade n'avait pas retenu la splendeur orientale. A bord rien n'était ordre ni beauté, luxe, calme ni volupté. Nous n'embarquions pas pour la croisière de luxe promise par le budget, nous embarquions sur cette coquille qui n'était pas le radeau de la Méduse, pas le Titanic non plus, pas le boat people de Lampedusa, encore moins le Concordia. J'utilise au sommet de ma comparaison deux navires tristement célèbres à dessein. Je ne vous l'ai pas dit avant le départ mais, sur un bateau quel qu'il soit, Cybertom a souvent joué le rôle du chat noir. Avec des conséquences plus ou moins heureuses, il fut coutumier de pannes moteur, de dessalage, de naufrage et même d'incendie. Toujours vivant après ses aventures de mer, il peut à nouveau pourrir n'importe laquelle des navigations. Et, avec ses allures de promène-couillon d'arrière dock le Shéhérazade était tout désigné pour appeler ce type d'incident. Par chance rien n'arriva de fâcheux.

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28 places, pas une de plus, pas une de moins et c'est ce qui donnait
à la croisière cette impression d'entassement et, malgré les sourires,
le sentiment d'avoir été jetés à fond de cale comme jadis ceux
que le commerce triangulaire avait déportés vers les amériques au terme
d'un épouvantable voyage à bord des navires négriers.

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ACTE I-SCENE III : NAVIGATION LE LONG DE LA GRANDE PLAGE

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Ce n'est pas encore ici ce qu'on appelle la grande plage d'Arcachon, celle que tout le monde connaît ( sauf Jeannine... ) pour y être venu au moins une fois se baigner. Non, nous sommes entre le petit port de plaisance et la jetée d'Eyrac qui s'avance dans le Bassin devant le restaurant Chez Pierre où nous irons déjeuner tout à l'heure. Bien que la photo ne soit pas très lumineuse à cause de cette maudite couverture nuageuse, on distingue déjà le caractère hétéroclite de la façade maritime, une succession de maisons anciennes, les arcachonnaises, quelques immeubles assez laids construits dans les années 60 et d'autres plus récents dont l'architecture a repris le style 19 ème qui prévalait au temps de la splendeur de la station. Entre tout cela quelques touffes de verdure rompent les alignements bétonnés.

A peine plus lumineuse pour les raisons évoquées plus haut, cette photo montre la jetée d'Eyrac et le casino. Ce dernier est curieux, ni beau ni laid, original et peut être pour certains trop décalé dans l'architecture générale de la ville. Qu'importe, il a son charme et donne à Arcachon une partie de son image. On le reconnaît à ses toits rigolos. Vous qui êtes venus au moins une fois vous baigner sur la grande plage vous savez qu'il y avait sur les hauteurs un autre établissement de jeux, le casino mauresque. Hélas ! il a brûlé en 1977 et c'est bien dommage car lui avait l'air qui convenait à cette ville dont je pense qu'elle fut inspirée par les lointaines cités orientales. Avis personnel que je vous engage à critiquer en allant visiter la ville d'hiver, une véritable curiosité architecturale.

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S'il est vrai que les urbanistes du 19 ème siècle ont ramené d'orient ( ou d'Angleterre ! ) l'architecture sophistiquée des bâtiments arcachonnais, je me demande bien où ceux du 21 ème sont allés chercher cette queue de baleine qu'ils ont plantée là au beau milieu de la baie. Franchement elle n'ajoute rien de bien nécessaire au paysage et sa couleur jaune n'est remarquable que parce qu'elle veut être remarquée, rien de plus.

ACTE I-SCENE IV : LA VIE A BORD

Il y eut tout au long de cette traversée des attitudes variées comme celles qui rythmaient la vie à bord des grands voiliers :
le capitaine, à son poste de pilote et de guide,
le matelot qui n'était pas de quart, profitant d'un calme plat pour un rêve sur la mer,
l'homme de vigie scrutant l'horizon à s'en brûler les yeux,
le passager aventurier
et la figure de proue, fierté du navire toujours la première devant les flots...

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ACTE I-SCENE V : DU GRIS AU BLEU

Nous quittions alors la côte urbanisée pour nous rapprocher de l'entrée du Bassin en longeant la plage Pereire. On rêve de rivages exotiques, de sable blanc, de cocotiers et de lagons cristallins et l'on oublie qu'à côté de nous il y a tout aussi beau et tout aussi agréable, il y a la plage Pereire. Elle n'a pas l'allure sauvage et abandonnée des îles tropicales, ni l'immensité troublante des grèves océanes, elle n'a pas l'air d'être citadine mais l'est quand même avec ses espaces gazonnés bénéficiant de l'ombre des pins parasols et son doux relief aménagé comme un jardin sur la mer.

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ACTE II-SCENE I : LA DUNE

A l'embarquement Matéo avait Prévenu :
Avec ce temps nous ne verrons pas la dune
Déception. Nous n'étions venus que pour elle !
Rassurant, le capitaine du Shéhérazade avait ajouté :
Je vous ferai faire un autre tour

Mais les cieux, d'abord mauvais joueurs, nous laissèrent finalement admirer ce joyau de la côte Aquitaine. Dans la lumière du matin il nous apparut resplendissant et la brume qui nous avait d'abord inquiétés, le dégageant petit à petit enveloppait encore le paysage dans un spectaculaire mélange de flous. Au sud, on avait peine à distinguer les nuages du sable. Au nord, les contours du ciel, de la dune, de la forêt et de la mer dessinaient comme un puzzle géométrique. Cette opposition était fascinante.

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Matéo ayant laissé le Shéhérazade aller sur son erre, nous dérivâmes lentement, totalement baignés dans cette atmosphère limpide, sous ce ciel drapé de quelques nuages avec sous les yeux ce rivage incomparable. Un jour lointain, c'est annoncé scientifiquement, le Bassin se fermera. Sous l'effet des forces du vent et de l'océan, les bancs de sable s'agrandiront et s'élèveront pour former un autre cordon dunaire. Notre mer intérieure deviendra un lac, il n'y aura plus de passes dangereuses à franchir pour gagner le large et plus de navigation prudente pour rejoindre le port d'Arcachon. Mais pour l'instant le milieu exerce sur les plaisanciers une attirance bien compréhensible. On y vient chercher à la fois un peu d'exotisme, un peu d'aventure marine, de l'isolement et les plaisirs que l'homme aime à vivre auprès d'une nature encore sauvage et préservée. Bien sûr à la saison, le banc d'Arguin qui ferme le Bassin à l'aplomb de la dune du Pyla est un lieu très fréquenté. Mais le matin de notre sortie nous n'avons pas ressenti cet envahissement et nous eûmes, nous aussi, le goût d'être facilement au contact d'un endroit magique à nous seuls offert.

Continuons en images à apprécier ce don merveilleux dans le scintillement de la mer, la douceur du ciel et la spendide ondulation de la ligne de crête au sommet de la dune.

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ACTE II-SCENE II : CÔTÉ CAP FERRET

Le Bassin d'Arcachon présente trois bords aux paysages fort différents :
Côté océan, ce sont les remuants bancs de sable et les déferlantes qui font penser à la barrière de corail.
Côté Arcachon, c'est la ville, la station où tout le monde se presse depuis l'ouverture de la ligne de chemin de fer Bordeaux-La Teste en 1841.
Côté terre, on dit ici le fond du bassin, c'est le plus authentique, l'endroit que les marées et les vacanciers délaissent et où vivent les oiseaux.
Et côté pointe du Cap Ferret, c'est le bord chic avec ses villas princières, son enchevêtrement de routes et son quartier secret des 44 hectares.
Vous avez compté 4 bords. Bien vu ! La suite montrera que cette journée ne fut pas placée sous le signe d'une arithmétique rigoureuse.

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L'extrême pointe de la presqu'île subit plus qu'ailleurs les assauts de l'océan. C'est pourquoi ces longues digues sans cesse consolidées pour protéger les propriétés pieds dans l'eau. Le milieu bouge tout le temps et les enrochements sauvages sont parfois contestés par ceux qui n'aiment pas que des espaces privés soient conquis sur les espaces naturels. Les pouvoirs publics sont de plus en plus attentifs à ce qui se passe sur les rivages de la presqu'île.

Ceux qui sont un jour montés en haut du phare du Cap Ferret comprennent la géographie de la presqu'île. Les autres, même en regardant une carte, ne peuvent se faire une idée précise de ce qu'est le Mimbeau dont on aperçoit ici la plage sur le Bassin. C'est encore un endroit magique, mais plus secret encore que la zone des 44 hectares qui le jouxte. Ce qui en fait la magie, c'est sa géographie si particulière. Son côté secret se manifeste par le peu de monde qui s'y rend même au coeur de la saison alors que Pereire, que la grande plage d'Arcachon, que les bords de l'océan, alors que même La Vigne, Le Canon, Claouey, Andernos sont courues. Ne me demandez pas pourquoi. Même si je le savais, je ne vous le dirais pas car j'aime à m'y rendre pour goûter les plaisirs de la mer et je n'aimerais pas, comme ailleurs m'y entasser.

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ACTE II-SCENE III : LA VIE SUR LE BASSIN

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Elle semble n'être que circulation maritime. C'est fou le nombre de bateaux qui parcourent ses eaux ! Il n'y a qu'à regarder la densité des embarcations sur le port d'Arcachon pour imaginer que si un jour elles sortent tous, il sera impossible de naviguer. Et chacun a dans ses relations un plaisancier qui a attendu plusieurs générations avant d'avoir une place au port ou l'autorisation d'ajouter son corps-mort à tous ceux qui encombrent déjà la proximité des plages.

Il y a les pêcheurs professionnels, les ostréiculteurs et l'activité touristique. A eux revient de plein droit la libre circulation sur les eaux du Bassin : ils travaillent.

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Il y a les pêcheurs amateurs qui jettent leurs lignes non pour capturer leur nourriture mais pour le plaisir de taquiner le poisson : c'est un sport.

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D'autres préfèrent la voile. Le Bassin d'Arcachon leur offre un espace maritime idéal pour s'entraîner, à mi chemin entre le grand large et le lac : c'est aussi un sport et un art de vivre sur l'eau

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Le Bassin d'Arcachon est un immense terrain de jeu et ceux qui aiment la vitesse se régalent. Heureusement ils sont moins nombreux que les plaisanciers tranquilles, sinon ce plan d'eau, si vaste soit-il, deviendrait vite invivable.

Il faut d'ailleurs une réglementation bien précise pour réguler toute cette circulation et une autre pour préserver l'environnement naturel et encore une autre pour limiter les constructions sur les rives. Grâce à elles la vie sur le Bassin d'Arcachon, qu'on soit propriétaire d'un bateau, résident ou simple visiteur est faite de moments privilégiés que nul ne voudrait voir disparaitre au profit d'une fréquentation anarchique.

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ACTE II-SCENE IV : DANS LEUR SILLAGE

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Le sillage d'un bateau a pour maints esprits sensibles une signification poétique. Outre la beauté de l'écume blanche sur le bleu de la mer, l'ondulation brutale des vagues à l'arrière de la coque évoque l'idée de voyage lointain pour une destination paradisiaque. La longue saignée dit les heures de navigation passées à bord des grands paquebots, des heures indolentes pendant lesquelles rien ne se passe sinon le déroulement continu du sillage. C'est une présence qui favorise la rêverie appuyé sur les bastinguages. Le sillage avec sa régularité et sa monotonie aide à oublier l'attente du voyage, si peu surprenant qu'il fait figure d'un compagnon fidèle.

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ACTE III-SCENE I : LE DEBARQUEMENT

La vie sur le Bassin est souvent rythmée par les marées. Partout elles sont sensibles et rien ne peut s'entreprendre sans en avoir pris connaissance. Ainsi avait fait Matéo quand il décida de nous débarquer à la jetée Thiers plutôt qu'à la jetée d'Eyrac qui, plus proche du restaurant nous eût évité une marche le long de la plage. L'escalier de cette dernière, bien dégagé par la marée descendante était périlleux et toujours soucieux de la sécurité de ses passagers Matéo avait choisi un accostement avec moins de marches.

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ACTE III-SCENE II : LE LONG DE LA PLAGE

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A part ces curieux animaux réunis sur le sable, la plage paraissait déserte. Pourtant la température était estivale, sans vent, le soleil bien présent et la mer très calme. Nous étions loin des agglutinements qui se forment à la saison sur les plages de l'Atlantique. A cela deux raisons sans doute : Fin juin, la saison n'était pas vraiment commencée et les eaux du Bassin, il faut le dire, n'ont pas la limpidité de l'océan. Quoique brassées par les marées, elles paraissent boueuses, presque polluées pour qui n'en a pas l'habitude. Je conçois que certains baigneurs n'y prennent pas plaisir.

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ACTE III-SCENE III : CHEZ PIERRE

Avant que chaque membre du groupe eût trouvé à sa place, il se passa des moments bizarres. Il y avait des gens debout, cherchant une chaise libre des sacs et vêtements laissés par ceux qui étaient partis faire ce qu'ils n'avaient pu faire à bord. D'autres déjà assis, satisfaits de leurs voisins choisis, discutaient sans sentir qu'un malaise était en train de s'installer. On essayait de compter les places et les personnes. On n'y arrivait pas. Ca bougeait trop. Quand même il fallait arriver à faire ce calcul : des gens visiblement allaient devoir manger debout.
Nous sommes 27. Il doit y avoir 27 couverts
Il y avait bien 27 couverts !
Vous êtes 29, annonça le serveur que la scène amusait
29 ! Ce n'était pas possible. J'avais compté et recompté les inscrits. Nous ne pouvions pas dépasser 28 qui était la capacité maximale du Shéhérazade. Il aurait coulé. Angoissé de cette situation qui commençait à tourner vinaigre j'extirpais la liste de mon dossier. Je l'avais construite avec excel, ce logiciel incontournable pour une telle situation. Je fis ce qu'on n'a pas besoin de faire avec cet outil, conçu justement pour les sommes automatiques, j'additionnais à la main les chiffres de la colonne des inscrits. Résultat : 29. Le logiciel affichait 27 ! Et il y avait bien 29 personnes à attabler. Depuis quand l'homme est-il plus fort que la machine sur des opérations aussi simples ?

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Observez ce tableau extrait de la fameuse liste et comme moi faites l'addition. 29 n'est-ce pas ?
N'a-t-on pas l'impression que le logiciel a commis une erreur ? Comment est-ce possible ? Les ordinateurs ne se trompent jamais, c'est ce qu'enseignent sans cesse les animateurs de CYBERILLAC. Et ils ont raison car dans ce cas précis, je l'ai vérifié à la maison sur ma bécane, c'est bien moi qui ai mal programmé les cellules de la somme. A force d'ajuster ma liste avec les inscrits de dernière minute, j'ai oublié d'inclure dans la formule d'addition les deux dernières lignes et voilà le résultat : une tension qui a bien pourri le moment de passer à table. Et nous avons évité le pire en naviguant à 29 sur un rafiot prévu pour 28 ! En plus avec à son bord un chat noir !
Honte à moi qui n'avait pas fait les vérifications nécessaires et accordé une confiance aveugle à mon ordinateur. Tiens, je me demande si je suis bien à ma place, responsable d'un club informatique et animateur...

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Grâce à la compréhension du restaurateur du Café de la Plage, deux couverts furent ajoutés et chacun pu apprécier en bonne compagnie l'apéritif avec ses toasts de foie gras, de jambon iberico pata negra, et le tartare de saumon, le plat, Merlu rôti risetto à la crème de jambon à l'espagnol et le dessert, biscuit moelleux amande, fraises au jus et sorbet citron basilic.

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TABLEAU FINAL

Puis le groupe s'éparpilla pour regagner son véhicule en suivant l'agréable promenade de planches aménagée depuis peu le long de la plage entre la jetée d'Eyrac et le Petit Port de Plaisance. Quelle bonne idée cette promenade !
Certains ne reprirent pas immédiatement l'autoroute et, ne voulant pas se quitter trop vite, partirent vers Le Mouleau continuer cette belle journée sur les rives du Bassin.

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Le Mouleau pareil à un Arcachon miniature possède aussi une jetée, une belle esplanade, des terrasses et commerces accueillants et une grande plage. Quel endroit sympathique pour une douce flânerie qu'accompagne les échanges chaleureux de l'amitié !

FIN

Crédits photos :
Isabelle DESCROIX
Françoise MONMARIN
Michel ORTZ
CYBERTOM

Jean-Pierre VENNIN ( Juillet 2016 )

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